8° dimanche du Temps ordinaire A (Isaïe 49, 14-15) (DiMail 513)

DiMail 513

Jérusalem disait : « Le Seigneur m'a abandonnée, le Seigneur m'a oubliée. »
Est-ce qu'une femme peut oublier son petit enfant, ne pas chérir le fils de ses entrailles ? Même si elle pouvait l'oublier, moi, je ne t'oublierai pas. — Parole du Seigneur tout-puissant.

Traduction AELF

En ce 8° dimanche du Temps ordinaire A, alors que le Seigneur annonce aux exilés leur retour dans la joie en terre promise, il confirme à Jérusalem qu’elle a toujours une place de choix dans son cœur (Is 49, 14-15).
Voici quelques questions pour la 1° lecture de ce dimanche :
- Quand ai-je eu l’impression que le Seigneur m’avait abandonné(e) ou oublié(e)?
- Comment ai-je rassuré une personne qui avait l’impression d’être abandonnée par le Seigneur?
- Quelle relation ai-je avec ma mère?
- Comment est-ce que j’accueille cet amour fidèle et indéfectible du Seigneur pour moi et chacun de ses enfants?
- Quel(s) signe(s) le Seigneur m’a-t-Il donné(s) pour me montrer qu’Il ne m’avait pas oublié(e) malgré les apparences?

Pour les couples et les (grands-) parents :
- Comment qualifions-nous l’attachement pour nos (petits-) enfants?
- Quand avons-nous eu peur de perdre l’un de nos (petits-) enfants?

Pour ceux qui travaillent (professionnellement ou à la maison) :
- Quelle personne avec qui j’ai travaillé ai-je choisi d’oublier? Pourquoi?
- Quelle personne avec qui j’ai travaillé n’ai-je pas envie d’oublier? Pourquoi?

Bonne semaine.
OJ+

Voir aussi le psaume (Ps 62 (63)) [DiMail 512]
Voir aussi la 2° lecture (1 Co 4, 1-5) [DiMail 511]
Voir aussi l'Evangile (Mt 6, 24-34) [DiMail 510]

Lire l'homélie "Confiance de et en Dieu" (2.03.2014)

est-ce qu'une mère peut oublier son petit enfants, ne pas chérir le fils de ses entrailles?

est-ce qu'une mère peut oublier son petit enfants, ne pas chérir le fils de ses entrailles?

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